caractère&physique : par où commencer ? les défauts peut-être, car ils sont bien plus nombreux que cela en à l'air. pour commencer, il faut avoir connaissance de sa violence quotidienne. faux-calme, yû est quelqu'un d'extrêmement impulsif qui ne supporte pas grand chose. dragueur , il aime les belles femmes et ne se prives pas de les avoir, rien que le temps d'une nuit. il n'est pas forcément agréable aux premiers abords, assez froid - mais on pourrait dire que tout dépend des lieux dans lesquels il se trouve. impatient, ce n'est pas pour autant un capricieux ; non. il aime juste avoir les choses au bon moment, sans avoir à attendre. râleur de première et pessimiste, il ne voit que très rarement le bien partout. aussi, il n'est pas très bavard car il n'aime pas causer pour ne rien dire ! les gens qui ont la langue pendue l'insupporte. pour autant, il n'est pas asociale.
malgré tout ces petits points désagréables, venons-en au positif, aussi peu présent soit-il. c'est un homme droit, de part l'éducation qu'il à reçu, mais aussi par ses propres principes. l'injustice est une chose qu'il ne supporte pas, la tromperie également. lorsque l'on fait partit de son entourage, il se trouve être agréable, un tontiné coquin et amusant. il aime faire la fête et passer du temps en compagnie d'ami (et surtout, amies, au féminin car la classe féminine l'attire au plus haut point) ; sortir en boîte [...] . ce n'est pas pour autant qu'il est accro au sexe, à l'alcool ; mais pourtant, bien à la cigarette. gros fumeur, il dit souvent qu'il terminera avec un cancer à l'âge de trente-ans !

physiquement, yû est grand, élancé ; muni d'une musculature aussi agréable à la vue qu'au touché. mesurant un mètre soixante-dix-huit pour soixante cinq kilos, en tant que basketteur, il se doit de n'avoir aucune petite once de graisse ! enfin. le sport est une excuse pour pouvoir au mieux entretenir son corps.
brun au naturel, il se teint souvent les cheveux en blond par pure provocation envers son père. il n'a pas de piercings car il trouve ça "crade" mais serait bien tenter à continuer à se faire des tatouages. il en à deux pour le moment, qui se trouve pour le premier à l'intérieur de son poignet droit, l'autre sur ses doigts.


 histoire : ♛ on peut dire que ce petit bout d'homme a été élevé au garde-à-vous. né à busan, en corée du sud un onze février, d'une mère institutrice est d'un père militaire, sous fonction de colonel.  à peine haut comme trois pommes que l'homme de la maison instaurer déjà la discipline et le respect à sa progéniture. yû est alors un jeune homme plein d’entrain bien rapidement stoppé par la dictature familiale. sur un point de vue scolaire, il était le plus sage et le plus intelligent. le plus réservé et le plus discret.

♛ en grandissant, il avait pris les traits de son père, marchant presque tel un homme, alors qu'il n'était âgé que de treize ans. les formalités étaient les mêmes. son père était juste absent à longueur d'année et ne rentrait que pour les fêtes de fin d'année. et encore. si la permission lui était accordée. yû n'avait eu droit à la présence de son géniteur que sur ses six premières années. ensuite, sa mère fut son principal pilier, bien qu'il ne l'eût jamais réellement porté dans son cœur.
tous le prenaient en grippe car il était le fils unique de l'un des militaires du pays les plus demandéset sollicité.
se forgeant un caractère bien à lui, plus rien ne pouvait l'atteindre et l'âge de la rébellion s'approchait à grand pas.

♛ sa vie bascula un jour de noël. s'attendant à le passer encore une fois seul avec sa mère, le mari de cette dernière fit son apparition comme si de rien n'était. elle était heureuse. yû ne l'était pas. voir cet homme lui était désagréable - autant physiquement que mentalement. âgé de dix-sept ans, l'adolescent passa le repas les yeux baissés jusqu'à ce qu'il lui adresse la parole.
« alors dis-moi yû. comment se passe t'es études ? »
je n'ai jamais compris pourquoi il c'était intéressé à moi à cet instant. alors qu'il n'avait jamais était présent dans ma vie. la seule chose qui lui importait était ma notoriété, mes résultats. jamais il ne c'était réellement préoccupé de moi. qu'il aille se faire foutre.
« ça te regarde pas. »

un silence s'installa dans la pièce, son père était restait de marbre. statique. le jeune homme lui lâcha un soupir audible et agacé, posant ses couverts sans aucune retenue et quitta la table sans avoir son reste.

il a l'habitude de faire la guerre. alors il l'aura. mais avec moi.

♛ il n'avait jamais pu vivre comme il l'entendait, toujours sous le joug de son supérieur. s'en était finalement finit, car le coréen provoqua ce dernier avec le plus grand des plaisirs qui puisse être. il commença par se teindre les cheveux, devenant blond. par sortir jusqu'à point d'heure. ramener autant de demoiselle possible dans son lit et le faire savoir dans sa demeure. se droguer. boire [...] la délinquance à l'état pure.
sa mère en faisait les frais. lui s'amusait ; et prit goût à tout son petit manège.

jusqu'au jour où, âgé d'un an de plus que ce fameux noël, son père rentra et le vit ainsi. prit d'une colère sans pareil et sans réfléchir à ce qu'il allait faire. les deux hommes n'avaient plus aucune retenue. -  il envoya son enfant à l'hôpital.
de quelle façon? les coups. certes. mais un coup de feu. une balle logée dans l'épaule de son fils. cet incident fut le dernier. car une fois sortit, yû fit en sorte de mener deux vies. l'une familiale, où il était le jeune homme calme, froid et discret ; aux yeux de sa mère le plus adorable. mais si seulement elle pouvait l’apercevoir dehors, car au fond, rien n'avait réellement changé. il était restait celui qui avait était avant l'accident.

♛ vivant désormais sa vie, au jour le jour, sans forcément se soucier de ce qui peut lui arriver, il est aujourd'hui étudiant en fac ; prenant quelques cours d'histoire, mais se trouvant dans la section sportive, en tant que capitaine de l'équipe principal de basket. âgé de vingt-deux ans, il ne vit plus avec sa mère, mais lui rend visite le plus souvent possible.

schizophrène ? - oui, un peu. bipolaire ? oh, c'est aussi probable. mais il ne faut pas lui en vouloir, au fond.